dimanche 24 novembre 2013

Chonchu tome 1 de Kim Sungjae et Kim Byungjin

Maudit dès sa naissance, Chonchu est le détenteur de la pierre du démon qui rend invincible son hôte. Abandonné par son père et élevé par un peuple qui n'est pas le sien, le jeune homme, dont le nom est devenu synonyme de massacres sanglants, ne provoque que peur et haine là où il passe. Il a pourtant décidé de comprendre pourquoi un tel destin lui a été réservé... Mais son frère jumeau ne l'entend pas de cette oreille !



Une amie m'a prêté les quatre premiers tomes de ce manga et j'ai donc terminé le premier tome.

L'histoire commence sur un monde en guerre. On y découvre Chonchu, jeune homme maudit par un démon. Une prophétie annonce que l'aîné du Roi provoquera la fin de tous et toutes par cette malédiction. Très vite, un problème se pose: des jumeaux naissent. Ulfasso (le premier des jumeaux) se débrouille pour faire passer son frère Chonchu comme maudit.
Très vite, Chonchu se fait détester, abandonner et maltraiter. Il cherche à savoir pourquoi il est maudit tandis que son frère monte sur le trône et fait tout pour le tuer.

Ce premier tome est vraiment agréable à lire même si par moments ça m'avait l'air confus. Les dessins sont vraiment travaillés (c'est d'ailleurs la couverture qui m'a attirée).

L'univers est sombre et c'est aussi un bon point pour moi. En bref, je vais me jeter sur le deuxième tome pour en apprendre un peu plus.

lundi 18 novembre 2013

Le meilleur des mondes de Aldous Huxley

Défi, réquisitoire, utopie, ce livre mondialement célèbre, chef-d'oeuvre de la littérature d'anticipation, a fait d'Aldous Huxley l'un des témoins les plus lucides de notre temps.
Aujourd'hui, devait écrire l'auteur près de vingt ans après la parution de son livre, il semble pratiquement possible que cette horreur s'abatte sur nous dans le délai d'un siècle. Du moins, si nous nous abstenons d'ici là de nous faire sauter en miettes... Nous n'avons le choix qu'entre deux solutions : ou bien un certain nombre de totalitarismes nationaux, militarisés, ayant comme racine la terreur de la bombe atomique, et comme conséquence la destruction de la civilisation (ou, si la guerre est limitée, la perpétuation du militarisme) ; ou bien un seul totalitarisme supranational, suscité par le chaos social résultant du progrès technologique.


Il aura fallut que je lise ce livre pour mes cours. Je l'ai depuis très très longtemps (mon père me l'ayant donné et l'ayant eu dans sa jeunesse) et depuis très très longtemps je décide de lire autre chose à chaque fois. Pourtant, il me tentait énormément...

Le livre débute  sur la présentation du Centre d'Incubation et de Conditionnement de Londres-Central. Au dessus de la porte d'entrée est écrit "Communauté, Identité, Stabilité".
Le Directeur nous fait la visite et nous montre comment les enfants sont créés (dans des éprouvettes). On apprend toutes les étapes de l'évolution de l'embryon, avec les décantations, les différends produits injectés pour créer l'être correspondant à sa caste et son travail. Tout est calculé pour que la personne créée soit conditionnée pour faire tel travail, aimer telle chose, craindre telle chose, soit immunisée à telle et telle chose, etc.
Ils privent même certaines personnes de leur intelligence car elles ne sont pas destinées à un travail demandant de la réflexion.

Une fois que les embryons deviennent enfants, on continue leur conditionnement par tout un tas de méthodes barbares. Par exemple, ils électrocutent les bébés touchant des fleurs car les fleurs n'apportent pas d'argent à la société. Ainsi, les adultes n'aiment pas se promener à la campagne durant leur temps libre.
On leur passe des messages durant leur sommeil. On leur apprend ainsi à aimer leur condition de Beta, Alpha ou autre. On leur dit qu'il faut jeter lorsque quelque chose n'est plus neuf pour les pousser à la consommation.

Les gens sont conditionnés pour ne pas réfléchir. Dès que quelqu'un entre dans des explications, ils refusent de réfléchir là-dessus et prennent automatiquement un "soma" (comprimé qui les plonge dans l'euphorie). Même lorsque l'explication peut les aider à aimer encore plus leur condition !

On suit l'évolution de quatre personnages tous complètement différents. Bernard Marx par exemple est bourré d'inquiétude et de doute. Il a conscience de son "moi" intérieur et ne se sent pas en phase avec la société. Là où tout le monde pense appartenir à tout le monde, lui se sent un être à part entière.
Lenina Crowne est elle quelqu'un de parfait du point de vue de la société. Elle ne sort jamais de ce que la société veut d'elle même si elle ressent de l'amour (chose complètement prohibé dans ce monde).
Helmholtz Watson est n'est lui non plus pas en phase avec la société car il est trop intelligent. Il trouve son travail insuffisant et ressent constamment un vide en lui.
John "le Sauvage" est né dans une réserve. Il n'est pas sortit d'une éprouvette et à été élevé parmi les Indiens. Lorsque Bernard le sort de la réserve pour le montrer à la civilisation, John pense découvrir un monde magnifique. Sa vision des choses est alors contraire à tout ce que la société pense. Par exemple, il prône la chasteté alors que la société pousse les individus à multiplier les partenaires car "tout le monde appartient à tout le monde" (et ainsi éviter le mal être lorsqu'une personne nous repousse). Il représente sûrement le lecteur de l'époque (1932) face à un futur possible (et nous en sommes en partit avec la surconsommation, la peur de la bombe atomique, etc...)

J'ai trouvé la vie des gens "civilisés" très fade en comparaison des sauvages. Cependant, celle des sauvages est également horrible pour moi. Ils sont trop fanatiques, vivent dans la misère la plus totale, etc. Le sauvage que l'on suit ne m'a absolument pas touché, bien au contraire. Lorsqu'il devient violent car une femme se met nue devant lui m'est totalement incompréhensible. Certes, ces gens n'ont pas accès à la connaissance mais de là à en arriver au Moyen-Age...c'est assez troublant.
En revanche, je comprends totalement ce qu'il ressent au milieu des gens "civilisés". A sa place, je deviendrai également folle car la vie n'a rien de bien si l'on doit vivre comme ça.


Tout au long du livre, on découvre le nom de plusieurs personnages connus: Engels, Bakounine, Marx, Bradlaugh et sans doute d'autres que je ne connais pas.


Bien que ce livre soit un incontournable à mes yeux, il y a tout de même quelque chose qui m'a dérangé. Je ne sais pas quoi exactement, mais j'ai le sentiment qu'il y a quelque chose de bâclé. En revanche, la fin est juste...parfaite.

"Car il fallait, bien entendu, qu'ils eussent un semblant d'idée d'ensemble, si l'on voulait qu'ils fissent leur travail intelligemment,-et cependant qu'ils en eussent le moins possible, si l'on voulait qu'ils fussent plus tard des membres convenables et heureux de la société" 

"Car les détails, comme chacun le sait, conduisent à la vertu et au bonheur; les généralités sont, au point de vue intellectuel, des maux inévitables. Ce ne sont pas les philosophes, mais bien ceux qui s'adonnent au bois découpé et aux collections de timbres, qui constituent l'armature de la société"

"Plus la caste est basse, dit Mr Foster, moins on donne d'oxygène. Le premier organe affecté, c'est le cerveau. Ensuite le squelette. A soixante-dix pour cent d'oxygène normal, on obtient des nains. A moins de soixante-dix pour cent, des monstres sans yeux."

"Mais chez les Epsilons, dit fort justement Mr Foster, nous n'avons pas besoin d'intelligence humaine. On n'en a pas besoin, et on ne l'obtient pas. Mais, bien que chez l'Epsilon l'esprit soit mûr à dix ans, il en faut dix-huit avant que le corps soit propre au travail. Que de longuers années d'immaturité, superflues et gaspillées ! S'il était possible d'accélérer le développement physique jusqu'à le rendre aussi rapide, mettons que celui d'une vache, quelle économie énorme il en résulterait pour la Communauté !"

"Et c'est là, dit sentencieusement le Directeur en guise de contribution à cet exposé, qu'est le secret du bonheur et de la vertu, aimer ce qu'on est obligé de faire. Tel est le but de tout conditionnement. Faire aimer aux gens la destination sociale à laquelle ils ne peuvent échapper." 

"Il n'y a pas si longtemps (voilà un siècle environ), on avait conditionné les Gammas, les Deltas, voire les Epsilons, à aimer les fleurs-les fleurs en particulier et la nature sauvage en général. Le but visé, c'était de faire naître en eux le désir d'aller à la campagne chaque fois que l'occasion s'en présentait, et de les obliger ainsi à consommer du transport.
-Et ne consommaient-ils pas de transport ? demanda l'étudiant.
-Si, et même en assez grande quantité, répondit le D.I.C, mais rien de plus. Les primevères et les paysages, fit-il observer, ont un défaut grave: ils sont gratuits. L'amour de la nature ne fournit de travail à nulle usine." 


"L'enseignement par le sommeil fut effectivement interdit en Angleterre. Il y avait quelque chose qui s'appelait le libéralisme. Le Parlement, si vous savez ce qu'on entendait par là, vota une loi l'interdisant. On a conservé les dossiers de l'affaire. Des discours sur la liberté du sujet. La liberté de n'être bon à rien et d'être misérable. La liberté d'être une cheville ronde dans un trou carré." 

"Une société composée d'Alphas ne saurait manquer d'être instable et misérable. Imaginez une usine dont tout le personnel serait constitué par des Alphas, c'est-à-dire par des individus distincts, sans relation de parenté, de bonne hérédité, et conditionnés de façon à être capables (dans certaines limites) de faire librement un choix et de prendre des responsabilités."

"Parce que notre monde n'est pas le même que celui d'Othello. On ne peut pas faire de tacot sans acier, et l'on ne peut pas faire de tragédies sans instabilité sociale. Le monde est stable, à présent. Les gens sont heureux; ils obtiennent ce qu'ils veulent, et ils ne veulent jamais ce qu'ils ne peuvent obtenir. Ils sont à l'aise; ils sont en sécurité; ils ne sont jamais malades; ils n'ont pas peur de la mort; ils sont dans une sereine ignorance de la passion et de la vieillesse; ils ne sont encombrés de nuls pères ni mères; ils n'ont pas d'épouses, pas d'enfants, pas d'amants, au sujet desquels ils pourraient éprouver des émotions violentes; ils sont conditionnés de telle sorte que, pratiquement, ils ne peuvent s'empêcher de se conduire comme ils le doivent. Et si par hasard quelque chose allait de travers, il y a le soma-que vous flanquez froidement par la fenêtre au nom de la liberté, monsieur le Sauvage. La liberté !-Il se mit à rire.-Vous vous attendez à ce que les Deltas sachent ce que c'est que la liberté ! Et voilà que vous vous attendez à ce qu'ils comprennent Othello ! Mon bon ami !"

mardi 12 novembre 2013

Le mardi sur son 31[15]

Rendez-vous créé par Sophie.

Principe:


Chaque mardi, on choisit une phrase de la page 31 du livre qu'on est en train de lire. Ça peut être une phrase qui fait réfléchir, une phrase que l'on n'aime pas du tout, etc...

Ma phrase:


"Il expliqua le système d'étiquetage-un T pour les mâles, un cercle pour les femelles, et pour ceux qui étaient destinés à devenir des neutres, un point d'interrogation, noir sur fond blanc."
Le meilleur des mondes, Aldous Huxley

Top Ten Tuesday[43]

Le “Top Ten Tuesday” est un rendez-vous à la base lancé par The broke and the bookish, et il est repris en français par Iani.
Chaque semaine, un nouveau thème est proposé pour la liste du top 10.
Cette semaine le thème est:

Les 10 couvertures de livres que vous auriez aimées différentes


1-

Je ne trouve pas cette couverture très jolie. J'ai vu d'autres couvertures de ce livre qui allaient carrément mieux. Enfin, c'est mon avis.

2-
Je trouve que la couverture ne correspond pas à l'histoire. A part ça, je ne la trouve pas moche du tout.

3-
En regardant, j'ai vu que cette couverture était de loin la plus belle de toutes mais....ce n'est pas encore ça lol

4-
Sérieusement...elle est vraiment moche cette couverture !

5- 

Cette couverture n'a absolument rien à voir avec l'histoire et je trouve ça dommage.

6-
Du fait que cette couverture soit moche et fasse presque peur, j'aurais bien voulu en avoir une autre.

7-
Je ne trouve pas cette couverture très jolie.

8-
Là aussi, je mets ce livre car je n'aime pas du tout la couverture.

9-
Je trouve que cette couverture n'a absolument rien à voir avec l'histoire. Avec un peu d'imagination, on peu imaginer un tribunal avec l'accusé tout devant.

10-
Là aussi, je ne trouve pas la couverture très jolie.

jeudi 7 novembre 2013

La Roue du Temps, tome 1 de Robert Jordan

La Roue du Temps tourne et les Âges naissent et meurent, laissant dans leur sillage des souvenirs destinés à devenir des légendes.
C’est la Nuit de l’Hiver dans la contrée de Deux-Rivières et, en ce soir de fête, l’excitation des villageois est à son comble. C’est alors qu’arrivent trois étrangers comme le jeune Rand et ses amis d’enfance Mat et Perrin n’en avaient jamais vu : une dame noble et fascinante nommée Moiraine, son robuste compagnon et un trouvère.
De quoi leur faire oublier ce cavalier sombre et sinistre aperçu dans les bois, dont la cape ne bougeait pas en plein vent…
Mais, quand une horde de monstres sanguinaires déferle et met le village à feu et à sang, la mystérieuse Moiraine devine qu’ils recherchaient quelqu’un : pour les trois amis l’heure est venue de partir. Car la Roue du Temps interdit aux jeunes gens de flâner trop longtemps sur les routes du destin...



J'ai décidé de lire la nouvelle édition de cette saga car je suis une grande fan. C'est donc avec grand plaisir que je me suis replongée dans l'univers.

Pour commencer, je vais bien évidemment vous parler de la nouvelle traduction. Elle est bien meilleure que l'ancienne et ça m'a fait énormément plaisir. Je n'ai pas une seule fois bloqué sur certaines phrases au français douteux.

Qui dit nouvelle traduction, dit noms modifiés ! Dans l'ensemble, je préfère largement les nouveaux noms car ils sont plus jolis et/ou collent mieux à l'univers. Par exemple, la Sagesse du village est devenue la Sage-Dame, Lews Therin Meurtrier des Siens est devenu Lews Therin Fléau de sa lignée, etc.
Il y a quand même quelques mots (mais ils sont peu nombreux) que j'aime moins que l'ancienne édition. Par exemple, les "liges" des Aes Sedai  deviennent les "champions".
J'avais peur d'avoir besoin de temps pour m'habituer à ces nombreux changements (forcément, quand on a lu 15 tomes avec l'ancienne édition...) mais le changement ne m'a absolument pas choqué. 


Je ne vais pas m'étendre sur l'histoire car, si je relis la saga, vous vous doutez bien que je suis une grande fan !
Si vous n'avez pas peur des nombreux tomes et que vous aimez la fantasy je ne peux QUE vous conseiller ce premier livre.


Les descriptions sont vraiment efficaces. Tout au long de l'histoire, j'imaginais bien ce que les personnages éprouvaient. Par exemple: "Quand il sentit contre son visage le souffle produit par les ailes du Draghkar, Rand eu le sentiment qu'une matière visqueuse comme la boue ou le limon dégoulinait sur sa peau". 

J'ai adoré retrouver les personnages principaux. Dans ce premier tome, mon préféré est Rand al'Thor car c'est bien le plus censé de tous. Cependant, j'adoooooore Mat Cauthon même si celui-là prend du plomb dans la cervelle plusieurs tomes plus loin (et là il roxx trop du biniou !).
Ce tome est le seul et unique de la saga où les femmes ne me tapent pas sur le système ! Bien que parfois je ne les comprenne pas très bien (je me demande parfois si je suis moi-même une femme), leur caractère passe. On note bien tout de même la différence entre les femmes et les hommes (les femmes ayant l'habitude de gérer les affaires du village, voire même de bien plus pour certaines). 


Bien que ce tome soit un coup de cœur pour moi, il y a toutefois deux petits défauts à mes yeux. 

Pour commencer, à un certain moment, un bug s'opère. Un paysan offre un foulard à Rand et Mat et plusieurs chapitres plus loin, ces mêmes personnages rencontrent un paysan qui leur offre un foulard (avec la même discussion que le chapitre précédent). J'ai eu l'impression de m'être endormi et d'avoir relu 2 fois le même passage avant de comprendre que c'était tout simplement un bug. 

Il y a également une longueur à la moitié du livre. Je ne dirais pas quoi pour ne pas spoiler mais, comme je ne l'avais pas remarqué la première fois que j'ai lu le livre, je mets ça sur le compte du "je connais déjà l'histoire donc je me lasse très vite des passages moins intéressants".
Ceci dit, j'ai entendu plusieurs personnes me dire qu'il y avait quelques longueurs dans le premier tome.


 -"Que voulez-vous ? demanda le jeune homme. Et qui êtes-vous ?
Des flammes crépitèrent de nouveau dans les yeux de l'inconnu.
Un instant, Rand crut qu'il les entendait rugir.
-Certains m'appellent Ba'alzamon...
Rand ne comprit pas comment, mais il se retrouva devant la porte, à secouer frénétiquement la poignée. Un cauchemar ? Qu'importait ! Le Ténébreux...Même si la poignée refusait de bouger, il insista, fou de terreur."


En bref j'ai adoré

mardi 5 novembre 2013

Top Ten Tuesday[42]

Le “Top Ten Tuesday” est un rendez-vous à la base lancé par The broke and the bookish, et il est repris en français par Iani.
Chaque semaine, un nouveau thème est proposé pour la liste du top 10.
Cette semaine le thème est:

Les 10 endroits/univers que les livres vous ont donné envie de découvrir


1-Le monde de Lyra dans "La croisée des mondes": j'ai trop envie de savoir à quoi ressemblerait mon daemon si j'en avais un !

2-Le pays des merveilles dans "Alice au pays des merveilles": Pour y rencontrer le chapelier fou et le lièvre de mars.^^

3-La soul society dans "Bleach": C'est un endroit qui m'intrigue et puis y'a pleins de beaux mecs. XD

4-Amestris dans "Fullmetal alchemist": Je ferai de l'alchimie ce sera le pied total.

5-Poudlard dans "Harry Potter": Qui n'a jamais rêvé de recevoir sa petite lettre pour entrer là-bas ?

6-La Louisiane dans "La communauté du sud": on dit que c'est l'Etat poubelle du pays mais ça m'intrigue quand même.

7-Le desert des Aiels dans "la roue du temps": Pleins d'autres endroits mais SURTOUT les Aiels.

8-La terre du milieu dans "Le seigneur des anneaux": Pour le Rohan, pour le Rohan !!

9-Le monde de "Trolls de Troy": J'en profiterai pour connaître mon pouvoir.

10-La forêt de l'oubli dans "La Rivière à l'envers": Quand j'étais petite, j'avais adoré lire ce livre et j'ai aimé plus particulièrement le passage dans la forêt de l'oubli. A chaque fois qu'une personne entre dans cette forêt, on l'oubli tant qu'elle n'en est pas ressortit.